Je repars du royaume d'Angkor la tête pleine d'image de cette civilisation perdue qui nous a légué un patrimoine d'une force inestimable. A chaque fois que je passe à Angkor je ne peux que m'émerveiller devant ces constructions venues d'époques perdues.
Comme disait Loup Durand : "Il n'y a rien au monde comme Angkor. Les monuments grecs et les cathédrales parlent à l'intelligence. Angkor touche ta peau et ton sang. Angkor se respire autant qu'il se voit" Jaraï, 1989
En tournant le dos à ces temples et à ces visages de pierres millénaires pour continuer ma route, je ne peux m'empêcher d'avoir cette petite musique bien connue d'un célèbre aventurier, venir rythmer chacun de mes pas m'éloignant de ce royaume perdu.
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